Que faire à Vénissieux ?
Vénissieux est une ville gracieuse de Lyon, en France qui baigne dans une ambiance envieuse. Désirez-vous vous rendre à Lyon ou à Vénissieux ? Voici, notre magazine vous propose de découvrir 22 meilleurs lieux à visiter à Lyon pour ne pas vous ennuyer.
Visiter Vénissieux: Top 21 des choses à faire et à voir
C’est où Vénissieux ?
Vénissieux est une commune française située dans l’agglomération lyonnaise (région Auvergne–Rhône-Alpes). Elle est la troisième ville la plus peuplée de la région Auvergne–Rhône-Alpes. Ses habitants sont connus sous le nom de « Vénissians ».
En effet, Vénissieux bénéficie d’une situation géographique extraordinaire entre Lyon, la vallée du Rhône et les plaines de la région de Velin.
Cela en fait le centre et le territoire des principales activités économiques. Plusieurs voies de communication et de transport agrémenteront les rues de cette commune et la feront sans doute figurer sur la liste exclusive des villes françaises les plus chaudes de 2022.
Alors qu’il y a quelques décennies, Vénissieux n’était qu’une région rustique, terre d’activités agricoles et viticoles,elle s’est aujourd’hui développée puis voit son sol accueillir de puissantes industries automobiles et des entreprises manufacturières compétitives au niveau mondial.
Il faut noter que la construction de grands ensembles résidentiels depuis les années 1960 a modifié positivement la structure urbaine et sociale de Vénissieux. Enfin, Vénissieux est également connue pour son rôle décisif dans l’histoire des banlieues françaises, des premiers soulèvements urbains à la Marche pour l’égalité et contre le racisme en 1983.
Que faire alors à Vénissieux ?
Vénissieux n’est peut-être pas aussi populaire que d’autres villes de France, mais ne vous y trompez pas. Vénissieux est une petite, mais belle destination touristique du futur qui mérite une visite. Vous serez surpris par certaines des choses uniques à faire et des endroits que vous pouvez explorer dans cette destination cachée.
Vous pouvez y planifier quelques heures d’excursion lors d’un voyage à Lyon ou à Annecy. Vous aurez certainement envie d’y revenir un jour, de faire une pause et de vous y détendre.
Si vous avez l’intention de visiter la France et que vous ne savez pas si Vénissieux devrait être inclus dans votre itinéraire, continuez à lire cette revue. Dans cette liste, nous avons rassemblé quelques-unes des choses à faire à Vénissieux et aux alentours.
Nous avons l’intuition que si vous incluez cette ville dans vos plans de voyage, vous serez tout à fait ravis de l’avoir fait.
1. Visiter Parc de la Tête d’Or
Un très beau parc à ne pas manquer ! Le zoo à l’intérieur est une excellente idée et un grand moment pour petits et grands ! Un lac avec un sentier tout autour et d’immenses espaces verts y donnent l’impression d’être à la campagne, sans parler de la roseraie à ne pas absolument manquer.
En effet, Parc de la Tête d’Or constitue tout simplement un régal pour les yeux. Les Lyonnais aiment leur parc et cela se traduit par une propreté impeccable. La nature y est pittoresque et ses chevaliers du soin nous accordent un moment de calme et de beauté. Un petit détour par le zoo et l’île aux souvenirs vous feront sans doute marrer de plaisir. C’est donc ce qui fait de Parc de la Tête d’Or la tête de liste de ce classement !
2. La Basilique Notre Dame de Fourvière
Très belle basilique, que l’on peut visiter de jour comme de nuit, la Basilique Notre Dame de Fourvière constitue l’un des joyaux architecturaux de la France. Elle est dotée d’un très bel intérieur, avec la chapelle de la Vierge et la crypte en bas. Visiter cette Basilique sacrée, c’est ne donner aucune chance à l’ennui de vous saisir une fois à Vénissieux.
3. Musée des Confluences
Le musée des Confluences est un musée d’histoire naturelle, d’anthropologie, des sociétés et des civilisations situé à Lyon, dans la région Auvergne–Rhône-Alpes en France. Succédant au Muséum d’histoire naturelle Guimet de Lyon, il a ouvert ses portes en 2014 et est installé dans un bâtiment de style déconstructiviste conçu par le cabinet d’architecture Coop Himmel.
Il reprend les collections du musée et doit compléter son fonds par des acquisitions. Le musée des Confluences fait l’objet de dépôts et de prêts de la part de différents musées et institutions. Ceci, pour ses espaces d’exposition temporaire et permanents. Visiter donc ce dernier sera donc l’un de vos meilleurs choix à Lyon.
Le musée est actif en tant que scénographe (collaboration avec des maisons de musique et de théâtre) et a commencé à éditer des livres (romans sur certains objets célèbres de sa collection en collaboration avec des auteurs de textes littéraires ou de dessins et de photographies).
Le projet déclaré est celui d’une pédagogie ludique et artistique, « les confluences des savoirs », tout en étant un signal architectural pour la porte de la ville. Elle est associée aujourd’hui au franchissement des deux fleuves de même qu’aux ponts pour former un ensemble urbain.
Le jardin « la confluence » permet par ailleurs, de relier les promenades établies sur les rives de la Saône à celles du Rhône dans le cadre de l’urbanisme NOUVELLE MANIERE DE LA VILLE ECOSYSTEMIQUE. Ce musée est géré par l’agglomération devenue Métropole de Lyon à structure départementale.
4. Mémorial National de la Prison de Montluc
Construite en 1921 et peu utilisée à l’origine, la prison de Montluc a d’abord été utilisée pendant la Seconde Guerre mondiale comme prison militaire du régime de Vichy de 1940 à 1943.
De janvier 1943 au 24 août 1944, elle a ensuite été réquisitionnée par l’occupant nazi. C’est le 4e endroit que nous vous conseillons de visiter une fois à Vénissieux. En effet, Montluc était la principale porte de déportation et d’exécution pour Lyon et toute la région.
Lieu d’internement de près de 10 000 hommes, femmes et enfants pendant l’occupation allemande, dont les enfants d’Izieu, Jean Moulin et Marc Bloch, la prison de Montluc est un lieu emblématique de la politique de répression allemande et française dans la région lyonnaise.
Dès 1947, Montluc a été confiée à la justice civile et a accueilli des détenus de droit commun jusqu’à sa fermeture en tant que prison pour femmes en 2009. Jusqu’en 1982, elle est également restée la prison utilisée par le tribunal militaire de Lyon, notamment pendant la guerre d’Algérie, lorsque des indépendantistes algériens condamnés à mort y étaient incarcérés.
Un an après sa fermeture, la prison de Montluc a ouvert ses portes au public en 2010 en tant que haut lieu de la mémoire nationale du ministère de la Défense. Lieu de mémoire, Montluc est également devenu un lieu d’enseignement, notamment pour les scolaires, et donc un vecteur de transmission des valeurs citoyennes.
5. Cathédrale Saint-Jean-Baptiste
La Cathédrale Saint-Jean-Baptiste se trouve dans le cinquième arrondissement de Lyon, au cœur du quartier médiéval et Renaissance du Vieux Lyon, dont elle est l’un des éléments marquants.
Au Moyen-Âge, elle faisait partie d’un ensemble d’églises et d’autres bâtiments ecclésiastiques, le groupe des cathédrales, qui comprenaient entre autres les églises Saint-Étienne et Sainte-Croix, détruites pendant la Révolution, ainsi que l’actuelle Manécanterie.
À l’origine, l’église était consacrée sous le patronage de saint Étienne, tandis que son baptistère était consacré sous le patronage de saint Jean-Baptiste, mais, comme cela arrive souvent, la désignation du baptistère a ensuite été appliquée dans la dénomination courante.
La première cathédrale attestée, que les sources contemporaines appellent simplement maxima ecclesia, c’est-à-dire « grande église », a été construite par Patient. La deuxième église, plus grande, datée du 10e siècle, a elle, été construite par Leidrade.
6. Musée Cinéma et Miniature
Pénétrez dans les vastes décors utilisés pour les tournages de films et découvrez une riche collection d’objets authentiques provenant des plus grands studios de cinéma européens et américains.
Huit salles didactiques avec des miniatures, des animatroniques, des masques, des prothèses, des robots, des costumes, des créatures et des monstres de toutes sortes révèlent de nombreux secrets sur les techniques d’effets spéciaux utilisées au cinéma.
De « Spiderman » à « Mr Doubtfire » en passant par « Le cinquième élément » et « Gremlin’s », plus de 450 morceaux de films légendaires nous émerveillent lors de ce voyage dans les coulisses secrètes du cinéma.
En exclusivité à Lyon, admirez la collection complète des décors miniatures de Dan Ohlmann, qui sont une reproduction fidèle de nos espaces de vie à l’échelle 1:12. Ses microcadres d’un réalisme époustouflant sont entourés de plus de 1000 chefs-d’œuvre de patience et de dextérité, réalisés par différents artistes miniatures du monde entier.
Voilà donc en effet, pourquoi vous devez absolument visiter le Musée Cinéma et Miniature à Vénissieux.
7. Parc de Parilly
Le Parc de Parilly est un très bel endroit pour se promener avec près de 18 000 arbres très différents : érables, cèdres, tilleuls, chênes rouges, pins, bouleaux, sapins, châtaigniers, douglas, figuier d’Amérique… dont les plus vieux ont environ 60 ans.
C’est aussi un lieu très apprécié des sportifs : un parcours de santé est proposé dans le bois de la plaine et une course d’orientation permanente avec 70 points de repère est répartie dans tout le parc. Les cyclistes peuvent emprunter la voie verte et les chemins ouverts à la circulation, dans le respect des règles de sécurité, soit au total 15 km de pistes cyclables dans le parc.
8. Musée des Beaux-Arts de Lyon
Le Musée des Beaux-Arts de Lyon est un musée municipal situé sur la place des Terreaux à Lyon (France), dans l’abbaye Saint-Pierre-les-Nonnains, plus connue sous le nom de Palais Saint-Pierre.
Voulu par les élites lyonnaises au XVIIIe siècle, il a été formalisé pendant la Révolution française, officiellement créée en 1801 et ouvert en 1803. Au XIXe siècle, il partageait ses locaux avec l’École des beaux-arts de Lyon et ses collections comportaient de nombreuses pièces archéologiques et historiques.
Deux particularités ont donné au musée une orientation particulière à cette époque : un salon des fleurs pour les dessinateurs de l’industrie locale de la soie et des salles où étaient accrochés des tableaux de peintres lyonnais. La priorité donnée à l’acquisition d’œuvres d’artistes locaux n’a cependant pas empêché le musée d’acquérir des œuvres prestigieuses, comme la lapidation de saint Étienne, le premier tableau connu de Rembrandt.
9. Fresque des Lyonnais
La fresque des Lyonnais est une peinture murale de 800 m2 située à Lyon, en France. Elle représente vingt-quatre personnages historiques de Lyon et six personnalités contemporaines. Elle a été réalisée par CITECREATION en 1994-1995.
La fresque a été peinte sur la façade et projette un reflet tout éblouissant.
10. Lugdunum —Musée & Théâtres romains
Lugdunumn, anciennement Musée gallo-romain de Fourvière et Musée de la Civilisation romaine, est un musée archéologique situé à Lyon, en France. Il comprend un espace muséal couvert et, depuis novembre 2017, les théâtres romains de la colline de Fourvière, autrefois situé au cœur de la ville romaine de Lugdunum. Il est géré par la Métropole de Lyon. Des expositions temporaires sont régulièrement organisées dans le musée. Cet endroit fait partie indiscutablement des meilleurs endroits à visiter à Vénissieux pour votre plaisir.
11. Mur des Canuts
Construit en 1987 par la Cité de la Création, ce mur peint, qui s’étend sur une façade aveugle de 1200 m², est le plus grand d’Europe. Mis à jour pour la première fois en 1997, il prend régulièrement en compte les transformations du quartier. Les habitants représentés sur la façade ont également vieilli. Ainsi, un jeune homme portant son vélo a été représenté en 1997 comme un jeune géniteur avec sa petite fille.
En 2013, le mur a été rénové et actualisé, montrant un quartier vivant entre histoire et modernité.
Ce mur peint évolutif représente le quartier de la Croix-Rousse, le quartier des « canuts » et les ouvriers qui travaillaient la soie au XIXe siècle. On y retrouve les bâtiments typiques du quartier, avec leurs hautes fenêtres et leurs plafonds de 4 mètres de haut, destinés aux métiers à tisser. Plusieurs évocations de la culture lyonnaise sont également présentes, comme un petit théâtre de guignol ou les vélos lyonnais en libre-service.
Par ailleurs, un escalier central gravit la colline entre les hauts bâtiments du quartier, donnant à l’ensemble une impressionnante impression de profondeur.
12. Jardin de Ville
Parc urbain verdoyant et lieu de concert estival en plein air avec aire de jeux, fontaine, jardin et kiosque à musique. Cet endroit constitue l’une des fiertés de la Vénissieux. Vous y profiterez de la fraicheur de l’atmosphère pour évacuer dans la nature vos doutes et toutes vos préoccupations accablantes.
13. Centre Commercial du Carré de Soie
Le Carré de Soie est un quartier situé entre Villes urbaines et Vaulx-en-Velin dans la métropole de Lyon. Il correspond à un quartier délimité à l’ouest par le boulevard périphérique de Lyon, au nord par le canal de Jonage, au sud par la route de Genas et à l’est par l’avenue Roger-Salengro. S’il existait déjà un quartier de La Soie, l’appellation carrée de Soie fait référence au projet de réhabilitation du quartier au début du XXIe siècle.
14. Musée de Grenoble
Le Musée de Grenoble, appelé Musée de Peinture et de Sculpture de Grenoble jusque dans les années 1980, a été fondé le 16 février 1798 par le professeur de dessin Louis-Joseph Jay. Principal musée d’art et d’antiquités de la ville de Grenoble, il est situé à la place Lavalette, à l’emplacement d’un ancien couvent franciscain construit en 1218 et utilisé à des fins militaires à la fin du XVIe siècle. L’ampleur et l’équilibre de ses collections d’art ancien, moderne et contemporain en font l’un des premiers musées d’art de France.
La plupart des courants artistiques sont représentés dans 57 salles d’exposition permanente et un grand jardin de sculptures, et les collections vont de l’Égypte antique à l’art contemporain. Cependant, grâce à l’action de l’un de ses conservateurs dans l’entre-deux-guerres, il est considéré comme le tout premier musée d’art moderne en France.
Grâce à ses salles d’exposition temporaire, il peut accueillir des expositions de plus de 100 000 visiteurs, ce qui en fait un centre important de la vie artistique française. Une autre particularité architecturale du musée est la présence de deux bâtiments construits à près de six siècles d’intervalle.
15. Fontaine Bartholdi
La fontaine Bartholdi se trouve sur la place des Terreaux, au centre de la ville de Lyon (1er arrondissement). Créée par le sculpteur Frédéric Auguste Bartholdi, elle a été inaugurée en 1892 sous sa dénomination initiale de « char triomphal de la Garonne », alors que son nom officiel est « Les fleuves et les sources allant à l’océan ».
La fontaine pèse au total 360 tonnes. Elle se compose de deux bassins et d’une statue de 21 tonnes soutenue par une structure en fer sur laquelle Gustave Eiffel aurait travaillé et qui est recouverte d’une peau de plomb de 4 mm d’épaisseur.
Cette peau de plomb est en réalité constituée de deux couches métalliques superposées composées d’une feuille de plomb de 1 à 1,5 mm d’épaisseur et d’une feuille d’alliage plomb-étain de 4 à 5 mm d’épaisseur. La statue mesure 4,85 m de haut et 9 m d’envergure.
Le diamètre total est de 15 m. Il y a 9,33 m entre la pointe des pieds des chevaux extérieurs et 9,50 m entre le bord de la cuve haute et les naseaux des chevaux moyens. La statue est divisée en deux parties. Des griffes sont visibles sur les sabots des chevaux.
La fontaine Bartholdi est remarquable tant par ses dimensions monumentales que par la prouesse technique de sa structure et de ses chevaux en porte-à-faux. De plus, de l’eau est projetée par les naseaux des chevaux.
Les fonderies Gaget, Gauthier et Cie, qui avaient précédemment réalisé la statue de la Liberté pour Bartholdi, ont mis au point cette technique de sculpture issue de l’orfèvrerie et de la cuivrerie.
Les statues sont constituées d’une structure métallique sur laquelle sont fixées 6 plaques de plomb préformées. La peau de plomb est ensuite retouchée à l’aide de techniques de repoussage et de ciselage afin d’obtenir des effets de relief.
16. Centre d’Histoire de la Résistance et de la Déportation Musée de Lyon
En 1965, à l’occasion du 20e anniversaire de la Libération, d’anciens résistants et déportés lyonnais ont fondé une association dans le but de créer un musée de la Seconde Guerre mondiale consacré notamment à la résistance et à la déportation des résistants.
Un premier musée a ouvert ses portes le 8 mai 1967. Il est installé dans deux salles du Muséum d’histoire naturelle de Lyon, rue Boileau (6e arrondissement).
Dans les années 1980, l’association des Amis du Musée de la Résistance et de la Déportation a demandé à la ville de Lyon d’obtenir des locaux plus grands. Cette demande a trouvé un écho particulier au moment du procès de Klaus Barbie, qui s’est déroulé du 11 mai au 4 juillet 1987 devant la Cour d’Assises du Rhône. L’ancien chef de la Gestapo et tortionnaire Klaus Barbie a été condamné pour crimes contre l’humanité (le premier procès sous cette accusation en France).
Suite à ce procès, le maire de Lyon, Michel Noir, a chargé en 1989 Alain Jacubowicz (adjoint délégué aux droits des citoyens et avocat des parties civiles dans le procès Barbie) d’accompagner la création d’un musée municipal de la Seconde Guerre mondiale.
Le nouvel établissement, baptisé Centre d’Histoire de la Résistance et de la Déportation
17. Musée archéologique Saint-Laurent
Le Musée archéologique Saint-Laurent est un musée départemental situé à Grenoble, en France, au pied de la colline de la Bastille, dans le quartier Saint-Laurent sur la rive droite de l’Isère et à proximité de la Porte Saint-Laurent.
L’ancienne église Saint-Laurent, reconstruite sur les vestiges d’une nécropole gallo-romaine, a été désacralisée en 1983 et transformée en site archéologique puis en musée en 1986. Le site est cependant étudié depuis le début du XIXe siècle et est classé monument historique depuis le 10 août 19773.
Il se caractérise par un grand empilement de bâtiments et de structures, dont le fleuron est la crypte Saint-Oyand datant du 5e siècle.Après une longue phase de travaux, le musée est ouvert dans sa forme actuelle depuis mai 2011.
18. La Maison des Canuts
La Maison des Canuts, atelier privé, fait vivre et partager la grande histoire du tissage de la soie lyonnaise, de ses origines à nos jours, à travers son exposition, ses visites guidées et ses démonstrations de tissage dans l’atelier sur d’anciens métiers à bras.
On peut y voir un magnifique métier à tisser Jacquard et différents instruments et accessoires utilisés pour le travail de la soie : bobines, canettes, navettes… Des fils de soie multicolores, des tissus de soie anciens, des passementeries ainsi que des documents et des vidéos sur l’histoire et la contribution sociale des canuts. Sans oublier une évocation de l’industrie textile régionale du 21e siècle.
L’un des plus grands intérêts de ce lieu est qu’il parvient à donner au visiteur un aperçu complet de cinq siècles d’industrie de la soie, et ce sur les plans historique, artistique, technique et social.
Ici, le visiteur prend réellement conscience que Lyon a été façonnée par l’histoire de son industrie textile : l’architecture de la ville et son développement économique, humaniste et social, marqués par la révolte des Canuts et son issue. Ce thème, toujours d’actualité, constitue une piste de réflexion pour l’avenir.
19. Westfield La Part-Dieu
Le centre commercial Westfield La Part-Dieu est un bâtiment situé dans le quartier de la Part-Dieu, dans le 3e arrondissement de Lyon, en France. C’est le plus grand centre commercial de France en termes de nombre de magasins et l’un des plus grands centres commerciaux d’Europe. En 2017, avec 35,6 millions de visiteurs, il était le deuxième centre le plus visité de France.
Ce centre est l’un des plus grands de France, au même titre que Westfield Les Quatre Temps de La Défense à Paris ou Westfield Vélizy. Il est le deuxième centre commercial de centre-ville en Europe en termes de nombre de magasins et également le deuxième centre le plus visité de France.
Alors que la plupart des centres commerciaux français et européens sont décentralisés et permettent de disposer d’une immense surface exploitable, le centre commercial Westfield La Part-Dieu est situé au centre du 3e arrondissement de Lyon, l’un des quartiers les plus peuplés et les plus denses de l’agglomération. Le centre se dresse au cœur du quartier de la Part-Dieu, face à la gare du même nom.
Son entrée principale se trouve sur le boulevard Vivier-Merle à l’est, mais il possède d’autres entrées, dont une au nord sur le boulevard Eugène-Deruelle, une au sud sur la rue du Docteur-Bouchut et, depuis fin novembre 2020, une à l’ouest sur la rue Servient, au pied de la tour Part-Dieu.
L’ensemble du centre est géré par Unibail-Rodamco-Westfield. En 2017, le chiffre d’affaires du centre s’élevait à 793,4 millions d’euros et son directeur est Jean-Philippe Pelou-Daniel.
Le centre s’étend sur cinq niveaux, dont un sous-sol qui relie le centre commercial au métro et un quatrième niveau occupé principalement par le deuxième étage de l’hypermarché Carrefour et l’extension qui devrait ouvrir en avril 2021 et qui abritera des restaurants et 18 salles de cinéma.
20. Musée de l’automobile Henri Malartre
Le Musée de l’automobile Henri Malartre est consacré à l’automobile, aux motos, aux vélos et aux transports en commun, mais aussi aux objets publicitaires et aux pièces détachées. Il est situé à Rochetaillée-sur-Saône, près de Lyon, sur le site du château.
Le musée a pour vocation d’exposer les collections de son fondateur Henri Malartre, mais aussi de promouvoir un patrimoine roulant maintenu en grande partie en état de fonctionnement — notamment grâce à un atelier de restauration de véhicules et à une équipe de mécaniciens spécialisés sur le site.
Ce dernier a été ouvert le 31 mai 1960 sur la base de la collection de voitures anciennes d’Henri Malartre (né en décembre 1905 et décédé le 12 novembre 2005), qu’il avait conservée depuis les années 1930. Il est installé dans le château, dont l’histoire remonte au 12e siècle et qui a été acquis par M. Malartre en 1959. Il est complété par le hall Amédée Gordini, ouvert en 1963, et le hall Louis Pradel, ouvert en 1972.
Le 29 mai 1972, l’établissement est devenu le musée de la ville de Lyon par délibération du conseil municipal de Lyon, après l’acquisition, moyennant une rente viagère, de l’ensemble des collections, du parc et de tous les bâtiments qui composent le musée et son site. Ne ratez absolument pas ce dernier !
21. Mis kebab
En plein cœur de Lyon, Mis Kebab est un impressionnant restaurant où vous pourriez vous régaler et découvrir de nouvelles spécialités culinaires notamment turques.
La cuisine turque propose des repas authentiques dans ce fast-food. Si vous avez faim, faites-y tour ! Un personnel jovial fait preuve d’un haut niveau d’hospitalité dans Mis kebab. Un service agréable est ce que les visiteurs aiment ici. Sur Google, cet endroit a reçu une note de 4,2 de la part de ses clients.
Que faire à Vénissieux – Conclusion
Vous serez certainement impressionné par les merveilles de la ville de Vénissieux. Bon nombre d’activités de distraction sont en vogue dans cette région. Si vous êtes en famille ou seul, la ville vous offre l’occasion de découvrir ses beaux sites touristiques.
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